« J’aime ce que propose Ghostemane : un rap bien violent inspiré de ses influences black metal. J’aurais pu prendre un peu n’importe lequel de ses morceaux, mais celui-là a une extra dose d’agressivité. » -AC
The Dillinger Escape Plan – Farewell, Mona Lisa
« Un de mes morceaux préférés – tous groupes confondus. Chaotique, colérique, émouvant, incontrôlable. La production de Ben Weinman (principal compositeur et guitariste du groupe par ailleurs) est impeccable, l’alchimie entre tous les instruments parfaite. Mention spéciale à Billy Rymer, fantastique derrière les fûts (il remplaçait pourtant tout juste Gil Sharone, ce qui n’est pas une mince affaire) et à Greg Puciato, au sommet de son art, dont la voix me donne des frissons. » -AT
Perturbator – She Is Young, She Is Beautiful, She Is Next
« Je n’adhère pas à tout ce que fait Pertubator, mais je trouve qu’il y a une vraie atmosphère particulière dans son album Dangerous Days. À mon sens ce morceau la résume avec brio : lugubre, malsain, captivant, entraînant. » -AT
Faith No More – Evidence
« Tiré de l’album « King For A Day, Fool For A Lifetime », ce morceau est une pépite parmi toutes ses comparses. J’aime par dessus tout la capacité de ce groupe à faire autre chose que de la musique énervée. » -RL
Lana del Rey – Ultraviolence
« Planant et mélancolique à souhait. L’album entier est excellent ! » – AC
Neurosis – Bridges
« Morceau majeur (en réalité ils le sont tous) de The Eye of every storm , mon album préféré de mon groupe fétiche. Ce pattern de batterie fou, puis ce marasme de guitares alterné avec une ambiance minimaliste et pesante, et enfin ce riff salvateur : merci ! » – PP
« J’ai découvert récemment ce surprenant mais super efficace duo de Les Claypool avec le fils Lennon. Le son de basse tue, et le morceau me rappelle par moments les géniaux « I want you » ou « Because » des Beatles. » -AC
« Anecdote : Silmarils c’est avant tout mon premier slam (!) lors d’un concert au Kao de Lyon pour la tournée de l’album Vegas 76. Cela étant dit, je trouve le morceau 1980 touchant et magnifiquement orchestré. Des paroles jusqu’à ce son de clavier / orgue / je ne sais quoi qui me plonge dans une nostalgie quasi-immédiate, ce titre résonne particulièrement pour moi. Les cuivres assurent également un travail magnifique et donnent une dimension cinématographique folle à l’ensemble. » -AT